14 avril 2011
Poème
Prisonnière de ses racines, enfermée
Elles maîtrisent mon corps et ma voix, immobile
Seules les larmes réussissent à me quitter
Je crie, je hurle, imperceptible
Prisonnière de ses filets, encerclée
La haut ils vivent leur vie, innocent
Je tente de crier ma suffocation, étranglée
Ils sont sourds, méprisants
Au find fond de mon esprit, séquestrée
Elles maîtrisent mon corps et ma voix, immobile
Seules les larmes réussissent à me quitter
Je crie, je hurle, imperceptible
Prisonnière de ses filets, encerclée
La haut ils vivent leur vie, innocent
Je tente de crier ma suffocation, étranglée
Ils sont sourds, méprisants
Au find fond de mon esprit, séquestrée
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